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L'histoire de la métallurgie
Les musées de la métallurgie
Tour de refroidissement Société métallurgique
L'ancien territoire de l'usine a été dépollué et a fait l'objet d'un traitement paysager conçu par Dominique Perrault entre 1996 et 2000. L'ancienne tour de refroidissement principale a été conservée comme un emblème important de ce passé ouvrier et mise en lumière la nuit. Deux zones d'activités ont été aménagées sur le site. D'autres projets ont été envisagés autour de ce campus, comme un lycée international ou un centre d'art contemporain à dimension nationale voire européenne dans les vestiges de l'usine (grande halle et tour réfrigérante), en association avec le Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou. Jugés trop ambitieux, ces projets ont été abandonnés et la réflexion s'est portée sur la création d'un tiers lieu autour de l'économie circulaire. Le chantier de restructuration de la Grande Halle a donc démarré en mars 2018. Régulièrement présenté aux habitants qui souhaitaient suivre son évolution dans l'espace de médiation baptisé Cité des chantiers, il s'est achevé en septembre 2019 et a été ouvert au public le 11 octobre 2019. Le projet a été présenté au Pavillon français à la 16e Biennale de l'architecture de Venise.
Le Musée de la métallurgie ardennaise est consacré à l'histoire de la métallurgie dans la vallée de la Meuse, en Ardennes. C’est un musée implanté situé en sortie de Bogny-sur-Meuse, dans un ancien bâtiment industriel.
Le musée de la Métallurgie voit le jour en 1990 au rez-de-chaussée de l’ancien hôpital pour découvrir le patrimoine industriel de la ville.
La visite s’articule autour de cinq grands thèmes : les origines de l’électrométallurgie, les hommes et leurs outils, les événements sociaux, la fabrication des produits et l’usine moderne.
Les tableaux de métallurgie
Rochette Raymond
Raymond est un artiste peintre français, né le 25 mai 1906 au Creusot et mort le 26 décembre 1993 au Creusot. Dés son enfance, il est fasciné par l'univers de la métallurgie lourde. Du Maroc, ou il réalise son service national. En 1949, il obtient l'autorisation d'entrer dans l'usine et d'y peindre. Rapidement accepté par les ouvriers, il le représente de plus en plus souvent minuscules à côté des machines qu'ils dominent ou en centre de tableaux.
Le "Four Martin" de Jean Amblard "renait" à Port de Bouc
Jean Amblard est un peintre français né le 26 juillet 1911 à Clermont-Ferrand et est mort le 18 juin 1989 à Rochefort-Montagne. Issu d'une famille auvergnate à Asnières. Il se consacre précocement à l'étude des arts plastique fréquentant dés 1924, l'école nationale supérieure des arts décoratifs, puis comme auditeur libre à l'École nationale de Beaux-Arts dés 1926. En 1947, il expose avec Mireille Miailhe et Boris Taslitzky à la galerie la Gentilhommière. En 1948, il obtient le Prix Blumenthal de peinture. Son style rejoint la "bataille du réalisme" menée par le PCF dans le contexte de la guerre froide, principalement entre 1948 et 1953, aux côtés de Jean Vénitien, d'André Fougeron et de Boris Taslitzky. Il effectue de nombreuses réalisations d'art mural au titre du 1 % des décorations monumentales pour des bâtiments publics, souvent en ciment gravé. Il élabore avec sa seconde épouse, l'artiste Nicole de Ricou, une technique de céramique sur des tranches de pierre de Volvic.
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